Imprimé : 2024-12-21
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Baijot, Louis
Zone d'identification
Type d'entité
Personne
Forme autorisée du nom
Baijot, Louis
Forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d'existence
1924 - 2013
Historique
Pendant de nombreuses années, il sera à la tête de l’entreprise familiale, le Boerenbond et les Moulins Baijots avant de transmettre le flambeau à ses enfants.
Défenseur de sa langue maternelle, le wallon, il aura eu la chance de côtoyer Gaston Lucy (Le Singlé), un vrai spécialiste en la matière tant au niveau du parlé que de l’écrit. Il héritera de sa bibliothèque, une vraie mine de trésors.
Animateur principal du Coutcouloudjoû (mensuel en wallon), il attirera Lucien Mahin à Bièvre où des cours de wallon sont toujours donnés.
C’était aussi un historien local. On lui doit une relation précise des faits de guerre sur Bièvre pour la Première Guerre mondiale, une traduction française du Wandelaicus mansus (texte latin concernant la région de Bièvre et datant du VIIIe siècle) et de nombreux écrits parus
dans les publications des cercles d’histoires locaux et dans les bulletins communaux.
Sa passion pour l’histoire locale, il savait la partager et un de ses
derniers gestes en ce sens est la donation de plusieurs documents au fonds d’histoire locale de Bièvre. Il sera également à la base de la restauration du site militaire de la gare de Graide.
Grand marcheur, Louis aura parcouru des milliers de kilomètres à
pied, accompagné le plus souvent de sa chienne Mira et de ses sticks. Il aimait raconterqu’on ne connait vraiment sa région qu’en la parcourant à pied.
Défenseur de sa langue maternelle, le wallon, il aura eu la chance de côtoyer Gaston Lucy (Le Singlé), un vrai spécialiste en la matière tant au niveau du parlé que de l’écrit. Il héritera de sa bibliothèque, une vraie mine de trésors.
Animateur principal du Coutcouloudjoû (mensuel en wallon), il attirera Lucien Mahin à Bièvre où des cours de wallon sont toujours donnés.
C’était aussi un historien local. On lui doit une relation précise des faits de guerre sur Bièvre pour la Première Guerre mondiale, une traduction française du Wandelaicus mansus (texte latin concernant la région de Bièvre et datant du VIIIe siècle) et de nombreux écrits parus
dans les publications des cercles d’histoires locaux et dans les bulletins communaux.
Sa passion pour l’histoire locale, il savait la partager et un de ses
derniers gestes en ce sens est la donation de plusieurs documents au fonds d’histoire locale de Bièvre. Il sera également à la base de la restauration du site militaire de la gare de Graide.
Grand marcheur, Louis aura parcouru des milliers de kilomètres à
pied, accompagné le plus souvent de sa chienne Mira et de ses sticks. Il aimait raconterqu’on ne connait vraiment sa région qu’en la parcourant à pied.